C'était
ainsi que Mauricio
Valls avait pris sa première leçon dans le complexe art national de
manœuvrer et de gravir les échelons après un changement de
régime : des milliers de fidèles et de convertis participaient
à l'escalade, et la compétition était terriblement rude.
(Carlos
Ruiz Zafón, Le prisonnier du ciel)
Je
me vois contraint de dire que le très beau texte attribué à
Mandela dont j'ai fait état dans ma chronique du 8 décembre dernier
était un faux, comme Médiapart vient de le signaler (je l'avais
pêché chez eux, et bravo aux journalistes de reconnaître leur
erreur) :
http://blogs.mediapart.fr/blog/edwy-plenel/141213/mandela-et-la-palestine-une-erreur-et-quelques-rappels.
Ceci
étant, ça n'empêche pas que je souscris entièrement à son
contenu, et que Mandela aurait parfaitement pu l'écrire. Je note que
le premier ministre Netanyahou devait d'ailleurs l'avoir pris à son
compte pour s'être dispensé d'assister à l'hommage funèbre en
Afrique du sud.
En
attendant, relisons ses mémoires :
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