En cet instant critique où deux mondes surarmés s’affrontent dans une logique fatale, il est suspect et dangereux d’être libre.
(Nikos Kazantzaki, L’ascension, trad. René Bouchet, Cambourakis, 2021)
Encore une chanson que je chantais en colo, qui me plaisait beaucoup et que mes petits colons adoraient. On la chantait en randonnant à pied dans la montagne (vallée d’Aspe des Pyrénées), ou le soir à la veillée, ou seuls avec mon groupe de colons en improvisant une ronde entraînante.
Katioucha (Katyusha)
Music by M. Blanter, text by M Isakovsky, 1938.
Les
pommiers fleurissent la clairière
Colorant le brouillard sur
les eaux
Katioucha
dominait la rivière
Et son chant planait sur les roseaux (bis)
C’est
le chant de l’aigle bleu des steppes
Le soleil vers lui te
guidera
Vers
celui dont elle garde les lettres
Doux trésor précieux de
Katioucha (bis)
Vole
au vent vole chanson légère
Vers celui qui au loin s’en
alla
Vers
celui qui garde la frontière
Porte le salut de Katioucha (bis)
Des
pommiers tombaient les feuilles mortes
Et la neige recouvrait
les monts
Quand
un jour arriva au kolkhoze
La réponse ardente du soldat (bis)
Les
pommiers fleurissent la clairière
Colorant le brouillard sur
les eaux
Katioucha
dominait la rivière
Et son chant planait sur les roseaux (bis)
https://www.youtube.com/watch?v=9f-9wCcielY
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