Au train où vont les choses, tout mouvement de l’âme un peu négatif retombera bientôt dans la clandestinité.
(Jean Baudrillard, La transparence du mal, Galilée, 1990)
Pour changer de Venise, une nouvelle chanson, peu connue, de Françoise Hardy (1971). Elle reste une
de mes chanteuses préférées, et je
suis toujours
heureux de découvrir d’elle des chansons que je ne connaissais
pas ou que j'avais oubliées, grâce à youtube ! Demain, la suite de Venise...
La question
pour écouter :
https://www.youtube.com/watch?v=uc6QfFVDomc
Je ne sais pas qui tu peux être
Je ne sais pas qui tu espères
Je cherche toujours à te connaître
Et ton silence trouble mon silence
Je ne sais pas d'où vient le mensonge
Est-ce de ta voix qui se tait?
Les mondes où malgré moi je plonge
Sont comme un tunnel qui m'effraie
De ta distance à la mienne
On se perd bien trop souvent
Et chercher à te comprendre
C'est courir après le vent
Je ne sais pas pourquoi je reste
Dans une mer où je me noie
Je ne sais pas pourquoi je reste
Dans un air qui m'étouffera
Tu es le sang de ma blessure
Tu es le feu de ma brûlure
Tu es ma question sans réponse
Mon cri muet et mon silence...
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