La
grande littérature se joue des frontières, des couleurs et des
nationalités ; le grand lecteur est apatride.
(Vincent
Monadé, Comme
faire lire l’homme de votre vie,
Payot, 2017)
Je
crois qu’on pourrait en dire autant de l’art, qu’il soit ancien
ou nouveau.
Me
promenant dans la Biennale d’art contemporain de Venise, et bien
que n’étant pas le moins du moins du monde critique d’art, mais
un simple amateur de beauté, j’ai pu, au gré des salles de
l’Arsenale et des pavillons des Giardini, aussi bien qu’en voyant
des œuvres disséminées ici et là dans Venise, me dire que
l’amateur de beauté artistique est apatride.
Les
œuvres proposées provenaient d’une centaine de pays différents
et, si tout ne m’a pas plu, j’ai pu faire une moisson abondante
dont voici quelques photos.
J’ai
malheureusement perdu le carnet où j’avais noté à quoi
correspondait chaque photo : tant pis !
Comme
pour la poésie anonyme, on admirera sans savoir d’où ça vient...
Et
voilà comment on revient rempli d’images et de découvertes...
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